jeudi 24 octobre 2013

Appartement à vendre 140 600 euros 65 m2 Le Mans ville ....


Le Mans appartement 75 000 Euros FAI


Vers verre vert .... maison fenêtres

Haute de près de cinq mètres, sur pilotis, la nouvelle maison de verre de l’est des Etats-Unis en impose. Pourtant, elle a été fabriquée à la main, pour trois fois rien. Nick Olson, un photographe de 27 ans, et Lilah Horwitz, une créatrice de 23 ans, l’ont construite pour 500 dollars, soit 365 euros. Le prix de seulement quelques-unes des fenêtres qui la composent car la plupart ont été récupérées par les deux artistes.

Une bonne affaire Biimm

Budget 2014 : gel des aides au logement

Budget 2014 : gel des aides au logement
Alors que la loi de finances est en train d’être examinée au Parlement, le budget 2014 apporte une mauvaise nouvelle pour 4 millions de personnes bénéficiaires d’aides au logement. Traditionnellement, ces aides sont réévaluées chaque année à la hausse : en janvier 2014 pourtant, les aides au logement devraient être gelées. 
En France, les personnes aux revenus les plus faibles peuvent recevoir des aides pour financer leur logement. En 2013, on comptait 4 millions de bénéficiaires de ces aides au logement, notamment des retraités et des étudiants. Les aides au logement sont indexées sur les prix de l’immobilier : elles évoluent chaque année en fonction de l’Indice de Référence des Loyers (IRL).
Les aides au logement
Il existe 3 sortes d’aides au logement :
  • APL : Aide Personnalisée au Logement, bien connue des étudiants qui sont nombreux à en bénéficier.
  • ALF : Allocation de Logement à caractère Familial.
  • ALS : Allocation de Logement à caractère Social.
Ces aides sont soumises à des conditions liées aux ressources du foyer, au lieu de résidence (situation géographique, taille du logement, montant du loyer…) et au nombre de personnes à charge.
Elles sont généralement réévaluées à la hausse chaque année pour suivre l’évolution du coût des loyers. Sauf en 2014, où leur montant ne devrait pas augmenter.
177 millions d’euros d’économies
En 2013, la revalorisation de 2,15 % des aides au logement a coûté 362 millions d’euros à l’Etat. Le gel des aides pour 2014 permettrait d’économiser 177 millions d’euros.
Pourtant, le montant total de l’enveloppe budgétaire dédiée aux aides au logement devrait passer de 4,9 à 5,1 milliards d’euros : une hausse globale expliquée par l’augmentation du nombre de bénéficiaires, de plus en plus touchés par la précarité.
Le gouvernement aurait fait le choix de geler le montant des aides afin de ne pas avoir à restreindre le nombre de bénéficiaires et de permettre au plus grand nombre d’en profiter.
Quel impact ?
Pour l’instant, le gel des aides au logement ne devrait pas avoir un impact lourd sur le budget des ménages bénéficiaires : à peine quelques euros par mois. 
Et pourtant, les syndicats étudiants UNEF et UNI dénoncent une nouvelle dégradation des conditions de vie de plusieurs centaines de milliers de jeunes qui bénéficient des APL. D’après l’UNEF et l’UNI, le gel des APL impacterait leur budget mensuel de 2 à 10 euros par mois, et inciterait les étudiants à rogner sur d’autres dépenses capitales. Pour Laure Delair, vice-présidente de l’UNEF, « le constat est simple : la moitié du budget mensuel étudiant est consacrée au loyer. Si on gèle les APL, les étudiants ne pourront pas rattraper l’augmentation des loyers. Deux options : soit ils renonceront à se loger, soit ils vont compenser au détriment d’autres dépenses comme la santé ». 
Le projet de loi de finances n’a pas encore été voté, mais il ne s’agit plus que d’une question de semaines : même si le gel des aides au logement n’est encore qu’un projet, il devrait être adopté au Parlement. Une mesure justifiée par un « contexte de faible inflation » et limitée à la seule année 2014. Les aides au logement devraient donc être revalorisées en janvier 2015…

Pour vous les filles pour vos biimms idées

2014 fiscalité immobilière pour les particuliers

Réforme de la plus-value des terrains à bâtir, nouveau cadre fiscal pour encourager l'acquisition de logements intermédiaires par les investisseurs institutionnels, hausse des droits de mutation... ce qui risque de changer pour les particuliers en 2014 en termes de fiscalité immobilière.
Le projet de loi de finances pour 2014 a été dévoilé le 24 septembre. En attendant les débats au Parlement et le texte définitif fin décembre, quelques pistes sur ce qui pourrait changer en termes de fiscalité immobilière pour les particuliers.

Pour les vendeurs.

Le nouvel aménagement du régime des plus-values immobilières est entré en vigueur le 1er septembre 2013, à l'avantage des propriétaires désireux de céder un bien (hors résidence principale). Ces derniers bénéficient d'une exonération totale de la plus-value au titre de l'impôt sur le revenu au bout de vingt-deux ans, au lieu de trente ans précédemment. L'exonération de la taxation au titre des prélèvements sociaux (CSG et CRDS) reste totale au bout de trente ans mais s'établit désormais de manière progressive. Enfin, un abattement supplémentaire de 25 % s'applique jusqu'au 31 août 2014 sur la plus-value nette imposable, après abattement pour durée de détention. Pour ce qui concerne les cessions de terrains à bâtir, la note risque de se révéler plus salée en 2014. En effet, le gouvernement a prévu de supprimer l'abattement pour durée de détention.


Pour les acheteurs.

Mauvaise nouvelle : le gouvernement a autorisé les départements à relever les droits de mutation (improprement appelés « frais de notaire »). De 3,8 % actuellement, ils pourront passer à un maximum de 4,5 % en 2014 et 2015.


Pour les investisseurs.

Les dispositifs fiscaux liés à l'outre-mer seront modifiés en 2014. En revanche, embellie pour les investisseurs institutionnels (banques, compagnies d'assurance...), qui vont bénéficier d'une TVA à taux réduit s'ils financent la construction de logements intermédiaires (à 10 %) et des travaux de construction et de rénovation des logements sociaux (à 5 %). Une mesure qui, in fine, devrait bénéficier aussi aux locataires.


Enfin, pour tous.

La hausse de TVA, qui ne fait pas partie du budget, entrera aussi en vigueur le 1er janvier 2014. Et ce relèvement va sûrement peser sur les décisions des ménages. En revanche, la TVA est abaissée à 5 % pour les travaux d'isolation thermique. Pour les autres travaux de rénovation dans les habitations, le taux passera de 7 à 10 % en 2014. Enfin, et toujours en matière de travaux, il est à noter que le crédit d'impôt développement durable (CIDD) sera reconduit en 2014, mais recentré sur les rénovations lourdes et les ménages les plus modestes.


Et les terrains à bâtir ?

Actuellement, la plus-value sur les terrains à bâtir (TAB) est imposée au taux forfaitaire de 34,5 % (19 % d'impôt de plus-value et 15,5 % de prélèvements sociaux), après application d'un abattement pour durée de détention qui conduit à une exonération totale au bout de trente ans. Changement en 2014 : plus aucun abattement ne s'appliquera sur la cession de terrains. À titre d'exemple, pour un terrain acquis 60 000 euros il y a douze ans et revendu au prix de 90 000 euros, la plus-value est de 30 000 euros. Si la promesse de vente dudit terrain est enregistrée au plus tard le 31 décembre 2013, l'abattement sera de 14 % (2 % par an entre la 5e et la 17e année de détention), soit une plus-value ramenée à 25 800 euros et une taxation forfaitaire (34,5 %) de 8 901 euros, contre 10 350 euros à régler à compter du 1er janvier 2014, soit 1 449 euros de plus qu'en 2013.
Posté le 21/10/2013 par LUC RUAULT